Les auteuses de cette branlette,
probablement subventionnées par nos impôts s’intéressent-elle à « Richs meet beautifuls » affichés dans les facs ?
Non...
Pour enfumer il faut avoir un diable à montrer.
Comme la société du Moyen Âge qui s’équilibrait sur la dévotion et sur le diable, celle du gocho s’équilibre sur la consommation et sur sa dénonciation.
https://fr.sputniknews.com/france/201710271033642032-relation-etudiantes-hommes-aises/