Tzecoatl Claude Simon 27 août 2018 15:24
Comme l’article est profond, approfondissons le sujet.

L’alcool a un certain intérêt. Il dilate le système artériel, et peut, à l’occasion, mieux alimenter le cerveau d’un afflux sanguin qui n’est pas sans intérêt lors d’activités créatrices.

Certains alcools ont des propriétés bien connus :
- apport de vitamines et de minéraux en ce qui concerne la bière (2 verres, et cela embellit) ;
- le vin est reconnu pour son revesratrol, protecteur des nouveaux neurones produits par l’hypothalamus (mais que l’on retrouve également dans les mûres, et évidemment le raisin, enfin sa peau, également source d’une protéine réduisant la digestion).

Le grand problème de l’alcool, c’est qu’il est très acide et que son abus réduit très fortement le magnésium corporel (meilleur régulateur minéral des nerfs, catalyseur de la sécrétion de neurotransmetteur, la dopamine, qui, en carence, peut rendre extrêmement violent) et détruit votre stock en vitamine D, celle fortifiant les os, et protecteur contre le cancer d’après certaines études.
Bref, après une cuite, mieux vaut se jeter sur le chocolat et se dorer la pilule, par exemple, afin de lier l’utile à l’agréable.

A trop forte dose, il est neurotoxique, déshinibiteur, réduit les réflexes, altère les cellules souches.

A faible dose, il permettrait d’éliminer certains pathogènes nocifs tout en gardant les bons

Sur la base de ces connaissances, l’alcool ne devrait plus être un sujet de moralisation, mais plutôt de connaissance des risques de son abus.

Pour finir, j’en connais même un qui est particulièrement aphrodisiaque : mais cela est secret défonce, donc chut.

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