« Chat échaudé craint l’eau froide » dit-on.
Est-ce que ces levées de boucliers ne seraient pas la saine réaction à ce que les promoteurs de ces réformes sont à juste titre souvent, soupçonnées d’avoir des intentions coupables vis-à-vis de la langue française, voire de la France elle-même ? Quelles sont les véritables intentions de ceux-là qui veulent introduire l’arabe dans l’enseignement à l’école ? Et pourquoi pas le rap dans les cours de littérature !
En ces temps troublés de néolibéralisme fou, la confiance du peuple en ses zélites est perdue.