Nobody knows me Nobody knows me 12 septembre 2018 14:06
Ce genre de problème devient la norme, les sites et les journaux deviennent de simples supports de publicité - et surtout il faut reverser ses dividendes à l’actionnaire -, donc il faut vendre de l’exemplaire, attirer les visiteurs, faire la « pute-à-clic » comme on dit.

On doit bien avoir qqs exemples sur Agoravox, en particulier sur AgoravoxTV.
Ceci vaut aussi bien pour les lecteurs de « gauche » à qui on va vendre des articles dans le genre évoqué dans l’article, que pour les lecteurs de « droite » à qui on va vendre de l’islamisation rampante, des chômeurs faignants et des rues envahies par de dangereux terroristes.

On met un stagiaire qui coûte trois kopecks pour recopier ce que la concurrence a recopié sur la concurrence, etc... Par dessus tout ça, une armée d’experts s’occupe d’évangéliser et de propager la bonne parole : celle de leur employeur, rarement dévoilé à l’antenne.

Ce n’est donc rien de plus qu’un des joyeux effets du capitalisme et de la concurrence dans le domaine du journalisme : précarité et baisse de la qualité du travail (non vérification des informations, circulation circulaire de l’information, ...).

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