Nobody knows me Nobody knows me 14 septembre 2018 15:22
@guylain chevrier

Mais maîtriser les flux migratoires dans les grandes largeurs est possible, à la condition d’impliquer les pays d’origine des départs, de faire une véritable politique de développement, avec des exigences fortes en échange avec ces pays, tout en ayant un accueil beaucoup plus circonscrit, exigent

Là aussi, c’est pas gagné, vu que notre politique étrangère est aux antipodes de ce que vous proposez.
Il y a tant à dire : impliquer les pays d’origines, c’est déjà arrêter les ingérences, ne pas les obliger à produire telle denrée alors qu’ils pourraient être auto-suffisants.
Au lieu de cela, ils sont obligés de produire ce dont ils n’ont pas besoin et de l’exporter, puis d’importer des denrées subventionnées d’Europe qui leurs sont indispensables, sur lesquelles on aura spéculé au préalable.
C’est totalement stupide à tout point de vue, mais rentable pour une poignée de connards boursicoteurs... Et ça mène aux nombreuses émeutes de la faim de la première décennie des années 2000.

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