Nobody knows me Nobody knows me 14 septembre 2018 15:04

@hunter


Sans vouloir faire dans le godwin, j’ai vraiment trouvé que votre prose, avec cette overdose de « parasites », « d’arriérés », de « fantasmes sur les jeunes migrants virils », sonne très 1936.
Vous savez que vous parlez d’êtres humains tout de même ?

Adish’ !

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