alinea alinea 3 octobre 2018 13:56
Il est, sauf si je me trompe, le dernier à partir des voix ancrées dans la mémoire de nos oreilles, de Bécaud à Ferrat, de Brassens à Brel, de Nougaro à Barbara, de Béart à Ferré, un paysage d’enfance et d’adolescence à jamais ancré en nous.
Je comprends mieux pourquoi Aznavour m’a toujours paru vieux, on ne l’a pas connu jeune !
Merci pour ce texte qui m’a appris des choses.

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