Hervé Hum Hervé Hum 14 octobre 2018 08:32

@Robert Bibeau


le fait que la loi dépende de la détention de la force vaut quel que soit le système, même pour l’anarchie ou le communisme, car absence de pouvoir et coillégialité, ne signifie pas absence de loi et donc, de la détention de la force.

Maintenant, si dans un système, la loi défend la propriété d’une minorité contre une majorité, mais que la force utilise les éléments de la majorité pour la réprimer, c’est tout l’art de la manipulation de cogito, c’est à dire, l’art du confusionnisme. Où cet art consommé, nécessite précisément l’état d’urgence pour faire accepter la soumission de cette majorité à une minorité présenté comme l’élite, l’aristocratie sur laquelle la majorité doit compter pour affronter les ennemies de la nation.

Sans l’état d’urgence, le pouvoir d’une minorité s’étiole inexorablement et finit par s’effondrer. Le hic étant que l’effondrement est souvent suivi du chaos et donc, réactive une situation intérieure d’état d’urgence nécessitant le retour à un pouvoir hiérarchique, ESSENTIELLEMENT si la faiblesse intérieure aiguise les convoitises extérieures. La boucle est alors bouclé et le système verrouillé. Les têtes ont pu changer, mais pas les conditions du système.

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