Spartacus Lequidam Spartacus 23 octobre 2018 18:57

@ninportequoi


Le PIB/habitant est une mesure de production de richesse, pas de la richesse et le revenu moyen de chaque habitant.
Oui chaque chilien est plus riche que chaque Français. Il possède à son bilan individuel le capital de son assurance retraite que ne possède pas le Français.

L’inégalité n’est pas un signe de richesse ou de pauvreté c’est une mesure de différence. 
Le décile le plus pauvre des Chiliens est plus riche que 95% des Vénézuéliens et une majorité du continent. 

Un peu comme l’inégalité en Suisse. Beaucoup de pauvres mais pas beaucoup dans la misère noire.
Je crois que les dirigeants des caisses de retraite par répartition en France ont aussi des revenus délirants.
Les gens dans les rues sont des gauchistes qui réclament des régimes spéciaux et différenciés. La bas aussi il y en a.

Les richesses du Chili existent dans tous les autres pays, Venezuéla et son pétrole, Argentine et ses immenses plaines agricoles. 

Et non, justement la richesse du pays est principalement possédée par les fonds de pensions et le PIB en augmentation favorise tous les adhérant aux fonds Chiliens et non pas une catégorie sociale comme vous voudriez le véhiculer.

L’exemple du Chili est le seul connu qui est passé de la répartition complète, à la capitalisation complète. 
Aujourd’hui Suède, Allemagne sont en train le mettre en place.

La Hollande et la Suisse qui ont aussi une bonne part de capitalisation ont aussi les plus hauts PIB, et revenus par habitant d’europe.

En France le réparti de Français produit un PIB pour ses parents qui n’ont rien parce que en répartition, pour des retraités Hollandais ou Américains adhérant de fonds de pension et rien pour lui et est condamné a demander à ses enfants de travailler pour lui.

Au lieu d’être moutonnier de la psychologie des foules, qui vous a montré qu’il n’y avait que la répartition comme solution, vous devriez peut être vous poser la question de l’absence de responsabilité de laisser a ses enfants une dette et une charge.

Changer le sens des mots « charge » en « solidarité » ne change pas le factuel de ce concept de l’irresponsabilité. 
Dans un pays qui manque cruellement d’investisseur et de capital développement comme la France, entre 10 et 12% de chômeurs qui souffrent, présenter la répartition comme « solidarité » est une honte.

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