Bonjour, Michel DROUET
C’est vrai, mais il aurait fallu, face caméras, exprimer dans la dignité qu’imposent un mandat d’élu de la nation et un statut de « présidentiable », les raisons de la colère, lesquelles ont été assez largement dissoutes dans les invectives.
Asséner « La République, c’est moi » à des fonctionnaires qui en sont eux aussi des serviteurs, et tenter de forcer une porte avec l’aide de militants a en effet été désastreux au plan de l’image.
C’est d’autant plus dommage que Mélenchon avait bien joué le coup à son domicile en s’exprimant avec force mais dans le calme sur la vidéo qu’il a postée sur Facebook