je ne me suis jamais battue pour des « valeurs », me contentant d’être comme le Zuyderzee de Freud, de constituer un barrage contre le mal. Celui qui vient des pulsions, de l’instinct : la survie (à quel prix ????). Chez l’enfant, c’est humain. Il n’a pas encore atteint le majorité et ne peut du fait de son expérience de vie « juger » ce qui est bien ou mal, mais ensuite, seule l’expérience de vie nous confronte au réel, au mal, Relire Platon et la caverne. Quand nous perdons toutes nos illusions sur la nature humaine, alors peut-être pouvons-nous au moins opposer un NON, catégorique. j’ai toujours aimé le fameux jugement de Salomon : celle qui accepte de perdre son enfant pour lui éviter la mort,....