@Tall
oui, grâce à Pompidou qui a dit à DeGaulle de se calmer... et que les « révolutionnaires » du jour seraient les bourgeois de demain...
il a eu cette phrase : « il n’y a pas de révolution sans mort »... en clair, ne leur donnez pas de martyrs... et ça a marché. Pompidou c’était comme Macron, un salarié de Rothshild... curieux précédent.
bon... mais j’ai pas forcément envie de disserter sur 68... Pasolini ou Clouscard n’y voient pas du tout une révolution, mais l’expression du fascisme consommateur émergeant... chacun en pensera ce qu’il veut.