Chouette texte, plein de belles formules et de clins d’œil à des titres de Bashung.
J’imagine bien que cette resucée doit avoir un peu le gout des quiches lorraines réchauffées au buffet de la gare de Lyon , mais quand même... Comme dit un pote inconsolable (comme vous, apparemment ?) de sa mort, « même à travers de boules Quies », Bashung, c’est encore cent fois mieux que les minauderies décérébrées des rappeurs et de la plate rt morne plaine de la chanson française actuelle ( Benabar, Christophe Mahé, Callogero, etc).
Nique la mort. Nitchevo, viva la muerte et la musique, la vraie, celle qui fait saigner le cœur et chialer la mémoire....