Emile Mourey Emile Mourey 1er décembre 2018 12:57

@Antenor
Vous dites « isolément », mais justement, c’est tout le contexte sculpté de l’époque et du lieu qui le prouve et c’est encore plus fort que les textes. Mais il y aussi les textes qui ne s’expliquent que dans ce contexte... le récit du martyre de saint Marcel, le texte essénien qui explique beaucoup mieux les chapiteaux à thème de la cathédrale. Aucune évocation de Mithra et du sacrifice du taureau. Il n’y a qu’un jésus du ciel juif espéré, un jésus que les fresques de Gourdon nomment Cléopas, lequel réapparaitra dans les évangiles pour y être converti au Jésus de Nazareth. Non ! le juge de paix irréfutable, c’est la représentation de l’offrande du prépuce et du clitoris dans les fresques de Gourdon que personne ne peut prétendre dater du Moyen âge


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