@Antenor
Vous dites « isolément », mais justement,
c’est tout le contexte sculpté de l’époque et du lieu qui le prouve et c’est
encore plus fort que les textes. Mais il y aussi les textes qui ne s’expliquent
que dans ce contexte... le récit du martyre de saint Marcel, le texte essénien
qui explique beaucoup mieux les chapiteaux à thème de la cathédrale. Aucune
évocation de Mithra et du sacrifice du taureau. Il n’y a qu’un jésus du ciel
juif espéré, un jésus que les fresques de Gourdon nomment Cléopas, lequel
réapparaitra dans les évangiles pour y être converti au Jésus de Nazareth. Non !
le juge de paix irréfutable, c’est la représentation de l’offrande du prépuce
et du clitoris dans les fresques de Gourdon que personne ne peut prétendre
dater du Moyen âge