Eh oui, c’est comme ça. Et les GJ ne changeront pas grand chose, du moins au train où vont les choses. Ces fameuses choses dont on ne sait pas trop de quoi elles sont faites, hormis la misère de beaucoup et les craintes des autres.

Tout le monde veut envoyer notre cher homme à Canossa, au diable, ou ailleurs, mais en vérité il n’est pour pas grand chose dans toute cette affaire. Il n’est que le pianiste du bar qui a modifié les rengaines et accéléré le tempo de la partition. Mais la musique restera la même.

Avez-vous vu une seule fois depuis la fondation de la première république, il y a plus de 200 ans, un gouvernement qui ne s’associe pas à la prospérité du patrimoine, à la protection de la rente, qui ne fasse pas les yeux de Chimène à la finance, et qui ne masque pas par tous les moyens l’exploitation de l’homme par l’homme ?

Se dirige-t-on vers un scénario à la mai ’68, avec des élections générales, des accords de Grenelle ? Et tout recommencera comme avant avec, en plus, un petit ballon d’oxygène pour quelques-uns...

Alors, soyez raisonnables, demandez l’impossible...