@phan
Pas mal l’épouvantail, et surtout l’avis éclairé de Brizit, qui saisie à l’époque d’une révélation, vit tout de suite le charisme inouï de son élève, si mignon à l’époque. Enfin, dommage que du côté d’Amiens, les liens vers Hollywood soient si ténus que personne ne fut mis au courant de l’existence de cet homme héroïque déclamant les bras en croix cette histoire incroyable de chien qui aboie et d’ombre d’homme ; Scorsese l’aurait immédiatement choisi comme rôle-titre pour la Dernière Tentation du Christ, merde.