L’auteur écrit :
« ... dans un pays a majorité germanophone écrasante, l’avis des suisses francophones et italophones est inaudible. »
Cette remarque n’est pas pertinente car même si la majorité germanophone représente 65 à 68% de la population environ, les groupes linguistiques ne constituent pas des entités d’orientations politiques uniformes. L’orientation politique découle avant tout de la répartition sociale, comme dans la plupart des démocraties.
Helvétiquement vôtre !