patwa 18 décembre 2018 14:12

@amiaplacidus

1/ L’immense liberté littéraire grammaticale, orographique, l’image la métaphore, les traditions du débat, les coups classiques qui passent tellement souvent qu’on ne peut pas te condamner, puisque mille autre font jurisprudence.

Démission, ou Décapitation ? Ce panneau n’est pas une menace de mort, c’est une alégorie révolutionnaire du roman national, voyons. 

Plutot que de chasser le sanglier, pourquoi ne pas chasser Le banquier ? Non seulement il est impossible de savoir si je veux Le chasser, mais aussi si je parle d’un notable local ou international, ou si je fait juste une rime d’actualité.

Moi si, mais j’aimerai pas prendre 4 mois et 15K€ pour « menace de mort sur le chef de l’état », du coup je vais le dire d’une maniéré qui arrangera mon avocat. Comme par-exemple, moi si, sous toi non. Je ne suis qu’un esprit de contradiction.

1/ La liberté artistique. Si tu chante ou que tu danse, tu peut a peut prés dire ce que tu veux. Sauf si t’est vraiment connu. Exemple poétique.

Plutot que de chasser le sanglier, pourquoi ne pas chasser Le banquier ? Non seulement il est impossible de savoir si je veux Le chasser, mais aussi si je parle d’un notable local ou international, ou si je fait juste une rime d’actualité.

« Avez vous vu la mobilisation sous le pont d’Avignon ?
Bientôt nous dansons sur le cadavre de macron ! »

1/ La liberté militante. Si tu écris que tout ce que tu exige, tu l’exige par la loi et la démocratie, ben... tu peut rétablir la peine de mort, respecter la rétro-antériorité. Rendre passible de peine de mort le fait de signer un traité sans l’accord de la majorité des citoyens, vraie (inscrit ou pas, blanc ou pas)

Je demande aux député de voter une loi, qui spécifie que le prochain président qui signera un traité sans referundum internationalement salué comme d’une transparence et d’une sincérité exemplaire, sera pendu a un arbre, modalité d’application a débattre entre les assemblées.
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Je demande le référendum d’exécution populaire, pouvoir décapiter le chef des armées, avec 7.000.000 signature. Avec une première sommation de démissionner et une seconde de le faire arrêter, on est pas des sauvages.

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