Neptunus 3 janvier 2019 19:22

Bonjour M. Filterman. Et bonne année.


Comme d’habitude, vos démonstrations me font sourire. Le document dont vous citez la source, traite de l’impact que peut avoir le CPL sur les radiocommunications… jusqu’à 80 MHz en fréquence. Avec Linky, nous sommes loin des fréquences susceptibles de brouiller des télécommunications.


Pour commencer, il faudrait des antennes conséquentes.

 

Je n’ai pas trouvé la version française du document, mais ce que vous écrivez est juste : « Lorsque la longueur d’un réseau d’alimentation électrique est sensiblement égale à la longueur du signal RF en phase, le câble électrique peut se comporter comme un bonne antenne ». Vous devriez aller au bout de votre raisonnement. La fréquence du CPL bas débit utilisé pour Linky, est comprise entre 35 et 90 kHz. Cela correspond à des longueurs d’onde comprises entre 8500 et 3300 mètres. Vous connaissez vous, des particuliers qui ont des câbles de cette longueur chez eux ?

 

Et vous vous appuyez sur des interdictions d’usage de CPL à fréquences élevées (2 MHz, voire même 74 MHz), pour justifier l’interdiction du CPL Linky... et je doute fort que ce dernier puisse interférer avec le LORAN, du fait de la faible longueur des câbles électriques véhiculant les signaux CPL.

 

Oui, un gamin de cinq ans peut écouter les signaux du Linky avec un poste AM. Et alors ? Les émetteurs grandes ondes qui émettent (ou ont émis) à des fréquences comparables pendant des dizaines d’années - et à forte puissance pour être reçus sur de très longues distances -, n’ont jamais engendré d’effets sanitaires néfastes que je sache. À 20 cm, Linky n’émet pas plus d’ondes électromagnétiques que l’émetteur d’Allouis à des dizaines de kilomètres de distance de l’antenne. 


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