Bonjour Fergus,
D’abord mes bons vœux.
Le rôle de porte-parole est ingrat.
En fait Macron subit ce que Trump génère de son propre-chef.
En 2009, j’écrivais un billet qui se voulait plus ou moins parodique sur le sujet « Cherche porte-parole d’urgence » avec ce préambule :
"Est-ce
le parapluie de l’homme de paille ou la paille, imposée est-elle le
suppositoire de celui qui n’a pas vraiment quelque chose de nouveau à
dire qui impose cette interface ?
Quand
on n’a rien à dire pour sa défense ou pour étayer sa politique, il faut
bien se réfugier derrière des paravents. N’est-ce pas plutôt "pare à
vents" ? En ces temps de tempête, rien de plus normal, non ?
Le
crédit, on aime en prendre les bénéfices en droite ligne. Le débit,
lui, il s’agit de le filtrer, de l’embellir à tout prix quand il n’est
pas à la pointe de ce qu’on nomme le « progrès »."
Amusant comme cela semble être écrit aujourd’hui ?