michelm michelm 13 janvier 2019 21:47

@François Pignon

Voir point n°3 a pour nom « Gladio », l’un des réseaux « Stay Behind », de OTAN d’alors.
Réseaux qui sont très probablement toujours en fonction, donc prêts à intervenir si la situation devenait trop dangereuse pour la finance supranationale, et dont le mini président français en est l’artefact.
C’est pas trop mal documenté par Wikiképia pour les plus académiques (https://fr.wikipedia.org/wiki/Stay-behind), mais bien mieux par les sites de réinformation.


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