eric 16 janvier 2019 10:43

Brasil de Fato est un hebdo altermondialiste fondé à Porto Allègre lors d’un de ces forums mondiaux ou de riches universitaires voyagent à travers le monde et s’interrogent doctement sur l’absence de travailleurs dans leurs rangs. Comme toujours la question du financement de ce genre de médias ramène en général à des fonds publics. Souvent via des associations subventionnées. Il n’est pas rare non plus que des états amis aident. Ceci pourrait expliquer leur enthousiasme pour le Venezuela. En effet, les forces politiques extrêmes qui le soutenaient au Brésil, viennent de se prendre une vaste fessée démocratique. On peut des lors concevoir qu’ils aillent à la pêche au financement ou ils peuvent. La corruption qu’ils soutenaient à domicile était largement financée par le pétrole. La force de l’habitude ? Il faut dire qu’hors Venezuela, il ne reste plus guère de monarchie pétrolière socialiste dans le monde. L’auteur de la publication de cette traduction émarge lui même à la manne pétrolière socialiste depuis des années. Quand on est salariés d’un parti, il est légitime de faire où on vous dit de faire. Enfin, il y a une part d’honnêteté. On ne peut que constater la quantité d’ex présents. Il y a aussi des omissions. Par exemple le nombre de clients de la Russie. Les concessions économiques pétrolières consentis comme prix de ce soutien. La présence des oligarques russes dont le progressisme laisse à désirer etc.... Bon, l’amateurisme subventionaire et militant, personne n’a jamais prétendu non plus que ce soit du journalisme


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