Francis, agnotologue JL 23 janvier 2019 10:14

Il y a sur ce site, de rares articles dont on peut dire qu’il n’y a rien à jeter. Celui-ci n’en fait pas partie.

 

Je ne relèverai que ça : ’’ le monde est fini et nos besoins ne le sont pas.’’

 

Erreur et confusion : les besoins sont limités ; l’imagination et les désirs sont illimités.

 

 Dans l’économie mondiale, 10% seulement du budget affecté aux désirs des happy fews suffirait à satisfaire les besoins de l’humanité entière.

 

La logique de l’économie de marché dans la société de consommation conduit inexorablement à accorder la priorité sinon l’exclusivité aux marchés du désir qui rapportent plus de profits que les marchés des besoins.

 

La société de consommation détruit la planète.

 


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