@L’apostilleur
Je suis également de l’avis qu’il n’en faudrait aucune, l’évocation de dizaines ou centaines montrait d’une part le caractère partial de n’en avoir que quelques unes, et d’autre part l’absurdité d’appliquer cette notion au bout de sa logique.
Concernant l’enseignement de l’histoire, il est passé de l’apologie au réquisitoire, il devrait exister un juste milieu.