@JL. Ce dont on a conscience n’est qu’une toute petite partie du travail neuro-endocrinien pris en charge par notre organisme. Toute toute toute petite.
Par exemple personne n’était conscient que le réflexe d’élévation des sourcils quand on reconnaît une vielle connaissance, amicale, est un réflexe universel à l’espèce humaine, avant qu’Irenäus Eibl-Eibesfeldt en fit la communication.
Aucun(e) pervers(e) n’est conscient(e) de sa perversité.
Aucun(e) paranoïaque n’est conscient(e) de sa paranoïa.