Eric F Eric F 2 février 2019 10:26

En fait, dès lors que les autorités syriennes ne veulent pas les juger sur place et les laissent repartir (disons que de leur part, c’est de bonne guerres), et que, juridiquement, ils ont la nationalité française, soit on les repère à l’avance pour pouvoir les appréhender, soit ils s’infiltreront d’une manière ou d’une autre.

Ce qui est regrettable, c’est qu’il n’aient pas été déclarés traitres à la patrie et coupable d’intelligence avec l’ennemi -à partir du moment où nos forces ont combattu Daesh-, et jugés comme tels. On [n’]ose souhaiter que les pires feront préventivement l’objet d’opérations ciblées, dont nul n’entendra parler.


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