Michael Gulaputih Michael Gulaputih 4 février 2019 11:34

@cevennevive
Bonjour,
Je me permets de faire trois remarques sur votre parcours. Mais avant je voudrais que vous preniez conscience que ce que décrit l’auteure s’applique tout aussi bien à la grande majorité des travailleurs tant du Privé que du Public.
Cette dernière n’a pas envie d’être ballotée de travail en travail, d’usine en usine, d’entreprise en entreprise, d’une région à l’autre.
Tout le monde ne déborde pas d’ambition au point d’y sacrifier son cadre de vie et sa vie de famille.
Les trois remarques :

  1. La République vous a offert la possibilité de faire des études supérieures pour devenir enseignante et ce presque gratuitement. Elle n’a pas eu le retour de son investissement, au vu de vos explications. Et en gentille mère de famille elle ne vous en a aucunement réclamé le montant. Ne trouvez-vous pas ?
  2. L’auteure du billet ne pleurniche pas. Elle explique clairement que n’ayant pas droit au chômage en tant que fonctionnaire démissionnaire, il est extrêmement dur pour ledit fonctionnaire de franchir le pas sans garantie. Une de celles-ci serait par exemple d’avoir trouvé un autre emploi au préalable. Pourquoi ne pas autoriser le chômage dans un tel cas comme au Danemark ?
  3. Si à 20 ans on se croit immortel et on tente des challenges en tous genres, 30 ans plus tard ce n’est plus la même histoire ! Sinon on verrait 70% de participants de plus de 50 ans aux journées saut en parachute ou saut à l’élastique. (cf pyramide des âges). Ce qu’on n’observe pas car les quinquas (pour faire simple) s’accrochent à leur boulot coûte que coûte et l’employeur le sait bien !

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