Il est évident que les démarcheurs ne laissent pas de place à la parole de l’autre.
Le 08/02 Griveaux nous la fait à l’envers et sans vergogne.
"Ce doute permanent qu’on instille dans les micros, ça fait que nos
concitoyens ne croient plus à la justice de leur pays, et croient qu’il y
a des complots permanents"
Maintenant et malgré leur totale soumission, ce sont les « micros » que l’on accusent
de distiller le doute et si j’ai bien compris :
La presse se doit donc d’être aux ordres et de ce fait, l’investigation devient complot.
Circulez il n’y a rien à voir.