@Mélusine ou la Robe de Saphir.

Considérer le niveau d’antisémitisme comme le thermomètre de bonne ou mauvaise santé d’une société est une escroquerie.
Qu’on le veuille ou pas, l’antagonisme entre la communauté juive et le reste du monde (en particulier les nations chrétiennes) est avéré depuis la nuit des temps. Il serait intéressant d’avoir une analyse sur le niveau de « bonne santé » de la société française lors de la douzaine d’expulsion de juifs recensée dans l’histoire de France. Les expulsions ont-elles debouché sur des cataclysmes ou des périodes sombres ?

Moi, ce qui m’inquiète vraiment, c’est le suprémacisme affiché du judaisme et des élites juives. Et cela m’inquiète d’autant plus lorsque cela se traduit par des propos tels que ceux qui suivent :

« Même si notre raison nous crie de toutes ses forces l’absurdité de ce face à face entre un tout petit peuple aussi insignifiant que le peuple d’Israël et le reste de l’humanité… aussi absurde, aussi incohérent, aussi monstrueux que cela puisse paraître, nous sommes bien engagés dans un combat intime entre Israël et les Nations qui ne peut être que génocidaire et total, parce qu’il en va de nos identité respectives. »

Itzhak Attia, directeur à l’École internationale de l’Institut Yad Vashem, dans Israël Magazine (avril 2003) :