@L’Astronome Non je ne propose pas de tout noyer dans l’équivalence. Je dis juste que les causes n’explique pas tout parce que les causse ont des causes.
Bien que tout le monde le sache, beaucoup d’entre nous créditent avec plaisir les discours qui donnent un début à l’enchainement des causes (ils ne font pas partie de ce début et leur responsabilité es dégagée, ce qui est un grand plaisir)
Je réagissais à votre expression « ne que ». Vous avez écrit :
« La perte de l’orthographe et du vocabulaire n’est que le reflet d’un phénomène plus grand : la perte du plaisir de lire et surtout d’écrire — car les deux procurent un immense plaisir. »