-
@ pingouin perplexe
Bien vu. Le P.E n’est que l’avatar « professionnel » du pervers manipulateur ordinaire. Il prospère dans le terreau de l’hyper-concurrence, et est perçu par la direction de l’entreprise comme un auxiliaire efficace, apte à détecter les faiblesses de ses collègues.
Il devient même un rouage essentiel du patron, capable d’exercer en ses lieu et place la sale besogne, la pression psychologique habituellement qualifiée dans le monde du travail, de « harcèlement moral ».
La devise « diviser pour mieux régner » peut ainsi se vérifier pleinement, car le patron peut compter sur le dévouement sans limite du P.E., qui exercera son art au-delà de tous ses désirs.