C’est bizarre qu’en dictature effroyable, l’opposant auto-proclamé manifeste en pleine liberté et appelle les forces étrangères pour mettre son pays sous tutelle et qu’en démocratie, patrie des droits de l’homme les manifestants qui « réclament un dialogue respectueux et de vraies réformes. Et pourtant, dans plusieurs cas, ils sont accueillis par
un usage violent et excessif de la force, par des détentions arbitraires, des tortures et même selon certaines informations des exécutions extra-judiciaires », a-t-elle déploré Michelle Bachelet, la Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU.