@ machin
On peut vouloir, comme vous et moi, la chute de Macron et la fin du néolibéralisme.
Mais ce n’est pas en lançant ici des anathèmes et là en désignant des boucs émissaires bien commodes que l’on occultera la responsabilité des électeurs eux-mêmes. Car en définitive, ce sont eux qui ont le dernier mot. A condition qu’ils veuillent l’exprimer pour barrer la route à ceux qui exploitent l’inertie de l’électorat pour détricoter les acquis sociaux !
Or, trop de gens s’accommodent de l’existant. Pourquoi ? Allez le leur demander !