Alren Alren 17 mars 2019 13:12

@rosemar

Une Intelligence Artificielle totalement dénuée de sentiments dirait, dans une perspective eugénique d’amélioration de l’espèce humaine, qu’il est dommage que Michel Onfray, dont on ne peut nier l’intelligence supérieure, n’ait pas d’enfants alors que de parfaits imbéciles (qui votent Macron en étant pauvres, par exemple !) se multiplient sans se poser de questions !


On a constaté une baisse aux résultats des tests de QI (qui ne meurent qu’un aspect de l’intelligence) et l’on se demande ce qui en est la cause.

Elle pourrait être dans les lignes ci-dessus.


J’ai longtemps soutenu la thèse que « l’intelligence » dépendait essentiellement du milieu éducatif global et que l’hérédité jouait un rôle mineur.

Mais des travaux récents ont montré qu’un cerveau fonctionnait d’autant mieux qu’il y avait de nombreuses liaisons en la zone préfrontale et d’autres zones éloignées dont le gyrus qui joue un grand rôle dans la mémoire.

Il semble que le cerveau d’Albert Einstein jouissait de ces nombreuses connexions.

Or le développement de l’encéphale est forcément dépendant de l’ADN donné par les parents, quel que soit l’environnement.


Si l’on a longtemps encouragé les naissances en France, c’était pour avoir une armée forte car nombreuse, constituée à l’époque essentiellement de fantassins et d’un main d’œuvre abondante pour travailler dans des usines, des ateliers ou des exploitations agricoles peu mécanisées et pas du tout automatisées.

Ces exigences sont obsolètes aujourd’hui. Donc il faudrait cesser d’encourager le natalisme par des mesures dissuasives après le deuxième enfant. Mais cela soulèverait un tollé, le « droit à l’enfant » étant considéré comme un droit humain primordial.

On ne peut donc qu’espérer que les couples soient raisonnables et limitent le nombre de leurs descendants pour que ceux-ci reçoivent davantage.


Mais ne nous faisons pas d’illusions : la croissance insupportable à terme de la population mondiale est le fait des familles les plus défavorisées de la planète. En Afrique, avoir de nombreux enfants fait encore la fierté de femmes sans éducation.

Et les religions auxquelles ces défavorisés se soumettent, sont toujours bêtement natalistes, ce qui était une nécessité quand elles ont été conçues dans l’Antiquité ou le Haut Moyen âge, mais n’a plus d’intérêt aujourd’hui.


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