Les ressemblances entre « Das Neue Europa », l’Europe nazie sans frontières de Hitler et l’Union Européenne d’aujourd’hui sont de nature idéologique.
Dans les deux cas, Il s’agit d’une structure totalitaire dans le sens où les peuples européens ne décident pas des prises de décisions et orientations politiques, économiques et sociétales du monde dans lequel ils vivent : les dirigeants de l’UE comme Jean-Claude Juncker, Donald Tusk, Antonio Tajani,... ne sont pas élus par les peuples.

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« L’Union européenne peut-elle être vue comme un projet racialiste ? »

Le métis, l’Autre, l’Arabe, le Noir, le Musulman constituent la nouvelle force de production européenne, valorisant le vivre-ensemble, le métissage et le multiculturalisme ; les marrons sont les « plus beaux êtres humains », comme le déclame Mélenchon qui se dit également être « très content » de l’éradication de la race blanche.

L’UE a comme obstacle a sa réalisation complète l’homme Blanc, qui constitue encore la majorité des populations homogènes de pays comme l’Autriche, la Pologne, la Hongrie, la Tchéquie. À l’instar de la construction de l’Europe nazie, qui était empêchée par l’impérialisme juif.
Tout comme le Juif, mais de manière moins radicale, l’homme blanc doit donc disparaître, s’effacer, se dissoudre, pour être remplacé par des populations hétéroclites, qui ne revendiquent pas d’identités nationalistes au sein de l’Europe.

Pour détruire ce suprémacisme blanc, il faut imposer progressivement à ces pays récalcitrants au diktat des directives européennes, des millions de migrants, sinon, c’est la punition.

« L’Oréal fait de la discrimination positive et l’assume. Aujourd’hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. »
Jean-Paul Agon, PDG de l’Oréal, le 13 juillet 2007

« A compétences égales, et bien désolée, on choisira la femme, ou on choisira la personne venant de autre chose que le mâle blanc, pour être claire. »
Anne Lauvergeon, PDG d’Areva, société détenue 95% par l’état, 18 octobre 2009