velosolex velosolex 18 mars 2019 13:12

@cevennevive
Merci de ces précisions. Ramasser des déchets est en effet une forme d’engagement très positif, et riche en conséquences pour eux ; car on ne rappellera pas toujours de toutes les manifestations, ni de les mots d’ordre, mais on se souviendra de s’être plié, pour ramasser des déchets laissés par les autres. 
Cependant, ces manifestations qui peuvent sembler « naïves » et parfois opportunistes, propres à sécher un cours, ont des intérêts évidents ; ce sera pour certains les prémices d’une prise de conscience de la force d’un groupe, et d’’échanges entre eux.
 On aurait tort de s’en moquer davantage que les grimaces matoises d’un carlos gohn. Rien de pire que de se sentir seul, que ce soit pour ramasser des merdes sur une plage, ou pour proclamer qu’un autre monde est possible, ou non.
La dernière négation paraissant de plus en plus actée. Le capitalisme brille par sa capacité à anesthésier, pour continuer ses prédations. Je parle de capitalisme et de tout totalitarisme, qui refuse de voir les conséquences d’un choix au delà d’une génération, voir au delà du cours d’une action...Ce qui me frappe le plus, c’est le refus d’admettre et d’anticiper, de la plupart des gens, un apragmatisme, devant les grand tsumani qui arrive.
Les oiseaux disparaissent, la mer monte, la température aussi. Les problèmes sont tous en synergie et en dépendance. De vieilles ladies se cramponnent au Brexit, à la nostalgie de ce qui n’existe plus. J’en parle car ce problème me semble la représentation symbolique de l’absurdité du monde, de sa myopie consternante. l’homme en fait n’a pas évolué depuis les cavernes, et est en totale dichotomie en rapport avec que son intellectuel pur a crée. C’est un cas de dissociation appliqué à l’humanité entière. Certains vont chercher alors encore plus d’irrationalité, par exemple dans les religions, en réponse au déni. 


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