Kostic 31 mars 2019 10:30

Citation : ’’il faudrait que les politiques économiques ... convergent dans les domaines sociaux et fiscaux et que la solidarité financière entre l’Allemagne ... soit possible.’’

Belle entourloupe idéologique ! Car prétendre qu’il ’’faudrait’’ est tout sauf la démonstration du bien fondé d’une telle présentation ! Alors, pour ne pas trop paraître à côté de la plaque, sont énoncées des approximations économiques susceptibles, dans l’esprit de l’auteur, de faire adhérer à ses lubies.

Parce que la divergence entre les politiques économiques et fiscales est précisément la preuve du fait de l’incapacité de certains États à se réformer pour se mettre à niveau de l’enviée, pour ne par dire convoitée Allemagne. Pays qui a su se réformer pour ne pas tomber dans un pseudo cycle vertueux, dit ’’social’’.

Bref, il s’agit encore d’un enfumage socialisant, dont les prophéties fondées sur l’envie de l’argent des autres sont auto-réalisatrices pour ces seuls prophètes de malheur, lorsqu’il arrivent au pouvoir par tromperie d’un maximum de gogos.

Il s’ensuit un lent déclin de la nation touchée par ces arrivistes inconséquents, fondé sur la distribution toujours plus massive de prébendes envers leurs obligés, jusqu’à la phase finale du sursaut des cochons de payants (en ce moment les classes moyennes), afin de relancer la productivité en rétribuant qui de droit, etc., moyennant plus ou moins de soubresauts ...

Socialisants aujourd’hui vendus à la finance internationaliste, parce que dotée de formidables moyens de pression médiatique, afin de tenter de conserver leur usurpation d’un pouvoir naturel, qui se devrait d’abord être réellement démocratique, doté d’une justice populaire et de politiciens devant être au service du peuple et révocables. Ce qui passerait par l’enseignement de l’économie et de la lutte contre les prédateurs économiques et idéologiques. 

Autant dire qu’avec le contexte actuel, oligarchique et propagandiste, soutenant ces idéologies socialisantes par opportunisme et pour abuser les masses, en leur octroyant des avantages par l’emprunt et sur la tête de leurs descendants, ce n’est pas pour demain.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe