@Fergus
Sur ce cas précis les éléments connus sont déjà suffisamment clairs pour ne pas permettre de se retrancher précautionneusement derrière un « il faut attendre l’enquête ».
Un suicide est très rarement lié à une cause unique, est-ce une raison pour deresponsabliser l’auteur de l’événement déclencheur ?
Quand un enfant se suicide en raison de harcèlement on pourrait utiliser exactement le même argument pour « absoudre » la meute de harceleur (« c’est pas moi, j’étais pas tout seul ... ») ; heureusement qu’on ne fait plus cela, depuis quelques d’années. Il a fallu « un suicide de trop ».
Que votre commentaire de relativisation soit largement apprécié par les agoravoxiens montre toute l’horreur de ce problème : les adultes se réjouissent presque du suicide d’un enseignant, qui oserait le faire pour le suicide d’un enfant ?
Clairement notre société est malade. Rosemar dit souvent des bêtises, mais pas tout le temps.