"Si les sondages avaient reflété sans faillir la réalité, on aurait eu l’élection de Balladur, celle de Jospin, pas de Brexit et pas d’élection de TRUMP entre autres."

Faux, les marges d’incertitudes des sondages (plus ou moins 3% pour les sondages des derniers mois avant le vote) incluaient totalement ces éventualités, l’erreur est celle des commentateurs qui prennent le « chiffre moyen » au lieu de raisonner à l’intérieur des fourchettes.

Mais dans le cas de sondages attribuant 1 ou 2% à trois mois du vote, il n’est pas arrivé que le candidat ou la liste atteigne plus de 5%. Donc ce n’est pas sur ce critère qu’il faut reprocher aux média de ne pas donner la parole aux « petites » listes, mais sur des considérations démocratiques : le droit d’expression de l’ensemble des courants qui courroucent aux suffrages