Cette histoire de toilette est représentative de notre civilisation.

En mélangeant trois éléments parfaitement naturels, on fabrique un déchet toxique qui n’a d’intérêt que pour les margoulins qui « retraitent » et qui taxent.

Ces éléments attendus autre part, à leur véritable place, créent un autre déséquilibre générateur de profits comme le capital les aiment.

Pisser et chier dans de l’eau potable résume notre hérésie, notre incompréhension des mécanismes naturels, du vivant, et de notre incapacité à gérer des problèmes simples par observation du modèle dont nous sommes issus.

Une forme de dégénérescence collective consentie, fruit de l’ignorance et de l’abrutissement des masses par la fascination du veau d’or, encore, il doit être écris quelque part, que l’humanité ne connaîtra pas l’age mûr.