« En attendant, Le JDD a révélé ce samedi, des échanges de courriels entre les principaux protagonistes de l’alliance Renault-Nissan datant du 23 avril au 22 mai 2018. Ces communications pourraient confirmer la fameuse théorie du complot dont Carlos Ghosn, favorable à la fusion Renault-Nissan discutée par les japonais, se dit être la victime. »
Et alors ? Supposons vraie cette volonté du gouvernement japonais de s’opposer à la fusion. Si Carlos Ghosn avait eu les « cuisses propres » les japonais n’auraient pas pu utiliser ce levier. Les accusations portant sur des agissements bien en amont de ce projet, il est difficile de croire qu’elles soient liées sauf à être fabriquées, et c’est là dessus que devrait s’instruire la défense de Ghosn.