’’sauver EDF de la faillite par une renationalisation de sa branche
nucléaire. Appliquant une fois de plus le célèbre principe néolibéral,
lequel se résume à une simplissime et très rentable privatisation des
profits agréablement confortée par la socialisation des pertes.
’’
Très juste, mais ce n’est pas quand le balancier revient à sa position la plus saine qu’il convient de râler ; au contraire. Le nucléaire civil ou militaire, n’a pas sa place entre des mains avides de profits.