Le plus paradoxal est qu’ici et là les mêmes qui emploient le mot dictature pour qualifier le régime politique de notre pays s’offusquent de l’usage du mot attaque par Castaner, chacun instrumentalisant les événements.

Cela n’excuse en rien cette manie qui devient très problématique quand il s’agit de nos gouvernants, mais peut être ceux qui s’en plaignent et qui participent quotidiennement de cette farce de communication devraient en tirer aussi des leçons.

Mais bon, on est dans l’instantané, le propos de tribune, le slogan, ... le contraire du discours politique. Circonstance aggravante, lé période électorale propice à se présenter comme le seul, l’unique, le vrai ...