eau-du-robinet eau-du-robinet 8 mai 2019 16:52

Bonjour ddacoudre,

« ...C’est d’en rendre responsable la Mondialisation »
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Nous sommes tous soumise au programme de la mondialisation, programme qui nous est imposé par la force, par des guerres !
C’est un programme néo-libéral sous la dominance militaire des États-Unis.
Ceux qui ne se plient pas aux règles fixe par les ultra-libérales rencontrent des difficultés, des sanctions si non l’exposition à une guerre, une guerre mené par les États-Unis (et Israël a travers de ses lobbys dans ce pays)
https://www.youtube.com/watch?v=JUertb8xWFE
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https://www.youtube.com/watch?v=vE4DgsCqP8U
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Paru le 15 septembre 2016, l’ouvrage du politologue français Thomas Guénolé déshabille la mondialisation telle que nous la connaissons. Entre paupérisation des populations, crise migratoire, et conflits économiques et politiques sur fond de catastrophe environnementale, celle-ci a tout aujourd’hui pour être recouverte de l’adjectif « malheureuse ». Ne se contentant pas de critiquer sans proposer de solution, Thomas Guénolé nous dévoile également quelques pistes pour, selon lui, mettre un terme à la morosité ambiante et avancer vers un « alter-système » salvateur.

https://mrmondialisation.org/mondialisation-malheureuse/

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«  Il existe des alternatives crédibles aux politiques néolibérales qui permettent de promouvoir un développement économique rapide qui soit équitable, stable et durable  », assènent d’emblée Ha-Joon Chang, de l’université de Cambridge, et Ilene Grabel, de l’université de Denver. Leur petit livre arrive à nous en convaincre, véritable manuel des alternatives à la mondialisation libérale.
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L’ouvrage commence par remettre en cause « six mythes » de la doxa libérale.
Le premier repose sur l’idée que les pays riches d’aujourd’hui se sont développés grâce à leur libéralisme commercial et financier. Les deux chercheurs n’ont aucun mal à rappeler en quelques pages combien, du XIXe siècle à l’après-Seconde Guerre mondiale, le Japon, l’Europe et les États-Unis ont suivi des politiques protectionnistes et très interventionnistes sur le plan industriel et financier
https://www.alternatives-economiques.fr/developpement-lalternative-liberalisme/00029466

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L’ouvrage montre que des entreprises publiques bien gérées peuvent être plus efficaces que des entreprises privées et que la course à la privatisation n’a pas de sens.

Les deux auteurs ne manquent pas de rappeler ici et là que le marché a son efficacité et que de nombreuses politiques publiques ont échoué. Leur propos n’est pas de glorifier l’État, mais de faire valoir qu’il existe des arguments sérieux pour justifier des alternatives à un développement par les seules « vertus » du marché.


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