@Olivier Perriet
C’est vrai qu’en bon râleur Nabum se plait à critiquer quoiqu’il arrive et les coupables sont toujours les mêmes :
— quand il n’y a pas asse d’offre électorale, c’est un déni de démocratie, c’est la faute au gouvernement,
— quand il y a trop de listes, c’est un déni de démocratie, c’est la faute au gouvernement !

A tous les coups il gagne.
La seule chose qui eut pu le mettre devant ses contradictions aurait été qu’il se présentasse lui-même, passant ainsi de la critique à l’action.
Pas folle la guêpe : il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais.

En attendant il continue à polluer la planète avec ses pamphlets quotidiens.