@Nicole Cheverney
« en quoi la perte de la souveraineté d’un pays mène droit à la dictature. » ?
>> Quelqu’un (peu importe qui en fait) a très justement remarqué :
— là où il n’y a pas de frontières, le « fort » est partout chez lui, et le défavorisé est partout à sa merci et n’est chez lui nulle part
— là où il n’y a pas de frontière, il y a des murs ...