Plus de 500 djihadistes étrangers ont été condamnés à mort depuis début 2018, mais l’Irak n’a procédé à aucune exécution.
Parce que l’Irak n’a pas intérêt à exécuter les djihadistes étrangers qu’il détient car ils lui offrent une monnaie d’échange pour négocier avec les états étrangers. C’est un moyen de demander des financements, des contrats ou un levier qui pourra être activé à n’importe quel moment face à l’Etat d’origine des djihadistes.
Une monnaie d’échange d’autant plus précieuse avec la France qui plaide pour que la peine de mort ne soit pas appliquée.
Le gouvernement français est désormais pris en otage