@ l’auteur.
Bonjour,
Je reconnais n’avoir lu votre article qu’en diagonale, j’espère ne pas être redondant en écrivant que, l’ironie dans cette affaire est que nombre de mots anglais sont issus de patois français :
—fleureter, conter fleurette > to flirt ;
— carette, (charette) > a car ;
...
Et certaines expressions latines sont plus utilisées par les anglophones que par les francophones, comme « versus »,« i.e. », « e.g. » (principalement à l’écrit) ce qui est d’un certain point de vue paradoxal.
J’ai entendu un jour à la radio un professionnel (grammairien, linguiste ?) qui pensait qu’à l’époque de Rabelais notre façon de parler était proche de l’accent québécois.
Ça ne m’étonnerait pas, j’ai le sentiment que nos cousins outre-atlantique sont plus dynamiques que nous dans la défense du français, même si parfois cela donne des résultats amusants comme pour la traduction des titres de certains films américains, mais aussi des résultats sympas (mâchouillon pour chewing-gum, divulgachâge ...)
Hélas,
essayer de convaincre Macron (« il n’y a pas de culture ... ») de défendre la langue de Molière est aussi ambitieux que d’essayer de convaincre une hyène de se nourrir de laitues (mes excuses aux hyènes pour la comparaison).
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