HELIOS HELIOS 29 juin 2019 11:47

@njama

bonjour a tous...

Voila l’excuse bateau : « il y a toujours des causes.... etc  »

Pour l’immigration de masse c’est complétement faux !

Tout citoyen, quel que soit son pays, oeuvre pour le developper. et cela se fait en restant sur place, en bossant en s’impliquant. Je connais des quantités de migrants potentiels -si c’était facile  qui s’échapperaient de leur pays où ils ne branlent strictement rien, « en tenant les murs » le long d’une route pleine de trous qu’aucun d’entre eux ne tente de combler !

La seule circonstance acceptable, c’est la catastrophe naturelle imprévisible (pas l’inondation récurrente par exemple)... et dans ce cas c’est en s’éloignant temporairement le temps de la reconstruction civile des lieux... quasiment tous les pays acceptent ce genre de réfugies temporaires.

Seulement, partir pour une destination où l’effort local a payé, quand on sait qu’on n’y a pas participé et qu’on ne participera pas est bien séduisant. 
Et cela d’autant plus qu’on a des supports culturels considerant les pays d’accueil comme des zones a coloniser ou a exploiter au nom d’une ideologie trancendante.

J’ai deux preuves a vous soumettre, ce sont de cas helas pas si isolé que ça :

En Urugay, l’état a « importé » de réfugiés syriens. (1) Ceux ci ont eu un enseignement basique de la langue et de la société locale. Ils ont été logés, defrayés etc un temps puis lâchés comme n’importe quel citoyen local.
Quelque semaines seulement apres, ils ont demandé leur rapatriement ou leur transfert en Europe (oui, oui, pas ailleurs) car ils considéraient la vie impossible : travailler légalement en payant IVA (TVA), taxes etc... en envoyant les enfants (dont les filles) a l’école et en respectant le pays. L’Uruguay leur a demandé de payer leur billet retour et ils ont refusé et c’est l’HCR/UNSCR qui a reglé. (je ne sais pas pour quelle destination)

L’autre preuve (2) est celle des haitiens qui ont profité du mandat de l’ONU délégué au Chili pour le maintient de la securité a Haiti.
Le Chili a payé le voyage des « réfugiés » pour importer ceux qui le demandaient (donc volontaires).
Ils ont vecu moins d’un ans... et cela continue, en toute liberté et supporté par des organisations qui leur ont enseigné la langue et les coutumes.
Ils demandent tous le retour a Haiti ou en Europe, particulièrement en France, car le pays ne les aiderait pas assez. Evidement, ils doivent travailler comme tout le monde et payer ce qui se doit quand on vit quelque part. rien n’est gratuit.
La seule difference avec les syriens c’est que personne ne veut payer leur billet d’avion de retour et c’est leur propre diaspora qui le fait avec l’aide de l’etat qui ne se laisse pas manipuler comme chez nous.

Quand les réfugiés se trouvent dans les même conditions que tout le monde et qu’il s’agit de construire, alors l’émigration n’est plus une solution... et la se pose la compatibilité culturelle. Les « voyageurs-réfugiés » doivent faire un effort, et peuples d’accueil ne se laissent plus violer (au sens large).

Pour ceux qui lisent l’espagnol :
(1) cherchez su Google ceci
(2) et ici


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