Prudence Prudence 1er juillet 2019 10:36

Désolé, « Latouille » : article inutile, Mélenchon est indéfendable.

Il s’est définitivement ridiculisé en ne contrôlant pas ses nerfs, il s’est révélé, il s’est grillé, il est cuit, il s’est cuit tout seul. Personne ne peut vouloir voir un pays gouverné par un tel énergumène, par une telle violence.

Une seule chance de rédemption lui était offerte : avec humilité, laisser la place à son second dont il aurait accepté ensuite d’être ministre (comme Poutine l’a si intelligemment fait, pour redevenir finalement n°1). Ce second était une seconde, Clémentine Autain, au bel avenir politique. Au lieu de cela, pour rester premier et ne pas risquer cette fois l’ombre de son second, Mélenchon nomme près de lui le plus terne des personnages politiques.

On comprend parfaitement la manoeuvre, elle est aussi lamentable que la crise de colère. Age affectivo-mental : trois ans. Maternelle.

Mais que pouvait-on attendre de sain de quelqu’un qui fut en maçonnerie ? Imaginez Mélenchon en tablier tout propre, bien sagement, bien aligné, aux ordres, bien soumis, hypocrite et fier de soi, intégré dans la meute. Voilà le vrai Mélenchon : rien d’insoumis, si ce n’est sa propre et absurde confiance en soi.

S’il est une seule chose dont il faille remercier Emmanuel Macron, c’est bien d’avoir tendu ce piège terrible dont Mélenchon ne pouvait pas sortir si on le connaissait bien. Or en voilà deux qui se connaissent comme deux frères.


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